Qu’est-ce qui fait que dans certaines communautés, les échanges et les discussions sont riches et tout le monde semble sincèrement s’apprécier, alors que dans d’autres c’est soit plus tranquille que le centre-ville de Montréal en pleine pandémie, soit aussi toxique que la poubelle de maquillage expiré de Rita Baga ? Pour trouver la réponse, j’ai d’abord été à la source. J’ai voulu comprendre comment les humains développent des relations dans des groupes, et ce, avant même de me pencher sur les fonctions et diverses plateformes numériques qui facilitent par la suite ces interactions.
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